Orientation Orthodoxe Dogmatique Elaborée
Ελληνικά: Μουσουλμάνοι που αγίασαν ως χριστιανοί
Cet article succède
celui au titre Miracles Chrétiens chez les Musulmans et consiste
une référence descriptive de l’ invitation incessante que Jésus Christ
adresse à nos frères musulmans qui sont sincères et bien-intentionnés afin
qu’ ils s’ approchent de Lui et deviennent membres de Son Corps universel et
magnifique, c’ est à dire de l’ Eglise :
En disant Eglise
je dénote l’ Eglise ancienne et indivisible des mille premières années après
le Christ et sa continuation historique, qui est l’ Orthodoxie.
Les martyrs dont nous
allons parler à la suite étaient musulmans mais ils ont sanctifié leur vie
en tant que chrétiens. Parmi eux un émir,
deux derviches et deux officiers supérieurs de l’ armée turque.
Pendant cette période
appelée Occupation Turque, entre 1453 et 1922 environ, sur le
territoire de l’ Empire Byzantin (Romanie), il y avait des milliers de
chrétiens qui sont devenus musulmans, tandis que très peu de musulmans sont
devenus chrétiens. Mais les chrétiens changeaient de foi parce qu’ ils ne
pouvaient plus supporter les conditions onéreuses des taxes de l’ esclavage,
tandis que les musulmans qui devenaient chrétiens ne quittaient pas
seulement la liberté totale du dominateur en incombant à ces conditions
insupportables, mais de plus, ils risquaient d’ être arrêtés et condamnés
aux tortures et à la mort. C’ est pourquoi, tous les saints présentés ici
sont des martyres :
Quel est donc le
grand secret qui les poussait vers cette décision courageuse? Jetons un coup
d’ œil –aussi bref qu’ il soit - sur leur vie et cela peut être aidera nos
frères musulmans à le découvrir.
Musulmans convertis à l’ Orthodoxie
Saint Tunom, l’ émir
En 1579, les
dirigeants de l’ Eglise Arménienne à Jérusalem ont pu persuader l’
administration turque de permettre au Patriarche Arménien –et non pas au
Patriarche Orthodoxe comme il est d’usage depuis toujours, d’ entrer dans le
Tombeau Saint pour recevoir la Sainte Lumière, lors de la cérémonie usuelle
qui a lieu chaque année, le matin du Samedi Saint. (Notes importantes : La
Sainte Lumière, apparition purement miraculeuse n’apparaît que lors de
la prière des Patriarches Orthodoxes par tous les temps. L’Eglise
Arménienne est une église de déviation monophysite, c’ est à dire
hérétique). Il est bien connu que cette fois-la, la Sainte Lumière n’ est
pas sortie du Tombeau Saint comme d’habitude mais elle a déchiré un des
trois piliers à gauche de l’ entrée de l’ Eglise de la Résurrection
parvenant là où se tenait debout le Patriarche Orthodoxe avec les fidèles
chrétiens.
L’ Emir Arabe Tunom,
qui était en tête du corps de la garde, a vu cet événement
impressionnant, du haut du minaret voisin. Il était tellement étonné qu’ il
s’ est précipité du minaret et a atterri sans la moindre blessure. Après
quoi, il a immédiatement refusé l’ Islam et a avoué que la vraie foi est le
Christianisme !
Sa confession a eu
comme conséquence d’ être arrêté par ses propres soldats musulmans et d’
être mis au feu tout vivant. Nous, les Orthodoxes, nous célébrons son
martyre le 18 avril.
[In English: The column that was split by the Holy Fire (1579)]
[In English: The column that was split by the Holy Fire (1579)]
Saint Barbare le Myroblite
Selon les
renseignements historiques, sauvés par la Tradition, la grande icône de la
Vierge surnommée Portaϊtissa
qui se trouve au Monastère Iviron, sur la péninsule de la Sainte Montagne
Athos, avait été jetée dans la mer de Nice en Asie Mineure par une femme qui
voulait la sauver des mains des iconoclastes, en 829, et a apparu aux
rivages de la Sainte Montagne en 1004. La Vierge, sur cette icône, porte
une blessure tachée de sang sèche, au niveau de la mâchoire du coté droit
du visage. Cette blessure est due au coup de sabre d’ un Arabe, nommé Rahai,
chef de l’ Armée Navale Arabe. Quand l’ Armée Navale a navigué à la bouline
du Monastère Iviron, Rahai a envoyé des Pirates pour dépouiller le Couvent.
Les Pirates n’ont pas pu effectuer l’ ordre de leur chef, parce qu’ ils
avaient été empêchés par une Femme, et sont retournés bredouilles sur leur
bateaux.
Quand Rahai écouta
les prétextes de ses compagnons, il les injura et il est couru contre le
Monastère en brandissant son sabre. Devant l’ icône de Portaitissa, il a
tiré son sabre et, très fâché , l’ a percée. Beaucoup de sang a commencé a
couler de la blessure. En voyant le sang du terrible miracle, le chef des
pirates commença à trembler et repenti pour son irrespect, il demanda d’
être absolu. Il a tellement reconnu son pêché, qu’ il a été baptisé. Il est
tout de suite devenu moine et il confessait, en pleurant, sa transgression.
Pour le reste de sa
vie, il est resté devant la sainte icône, essayant d’ offrir ses services
dans l’ église de Portaitissa. En plus, il demandait à ses frères du
Monastère d’ Iviron, de ne pas l’ appeler de son nom monastique, Damaskinos,
mais « barbare », c’ est à dire brute et agreste. St Barbare a tellement
progressé en vertu, qu’ après sa mort les signes de sa sainteté étaient très
évidents. Il est appelé jusque maintenant le « saint Barbare » et il est
célébré par l’ Eglise le 15 mai. Sa relique, a été trouvée intacte et
intègre, exhalant de l’ essence.
St Ahmet l’ ouvrier
du cordonnier
Il y avait
un homme Turc ; il
était riche et vaillant ; son nom était Ahmet. Il habitait Constantinople
et disposait d’un postulat supérieur dans le palais. Il disposait aussi d’
une esclave Russe, chrétienne orthodoxe : Chaque dimanche, une autre
vieille esclave lui apportait du pain bénit, elle en mangeait et elle buvait
aussi de l’ eau bénite.
Un jour, Ahmet lui
demanda : « Qu’ est- ce que tu manges dimanche matin et pourquoi ta bouche
émet un tel arôme? Alors, elle lui parla du Christ. Ahmet alla à l’ église
pour voir de ses propres yeux: Il vit vraiment des choses mystérieuses et
miraculeuses, il crut et fut baptisé chrétien.
Le temps s’ écoulait;
personne ne savait rien. Mais un jour, comme il mangeait et buvait avec d’
autres Turcs, on a commencé une discussion sur la chose la plus importante
sur terre. Chacun donnait son avis et enfin on a questionné Ahmet. En ce
moment-là, son coeur lui commanda de dire ce qu’ il croyait en vérité: « La
chose la plus grande de toutes, c’ est la foi des Chrétiens! Répondit-il.
Ses compagnons se
sont rues sur lui, on l’ a mis en prison et, un peu plus tard, il a été mis
à mort.
St. Ahmet a été
décapité le 3 mai 1682, sur la place Keaphane Bahçe. C’ est en ce même jour
de mai que sa mémoire est célébrée chaque année.
St Jean le Derviche
Ce Saint Néomartyr
est né à Konitsa d’ Ipiros : Ses parents étaient musulmans. Son père était
un derviche et Seh. A l’ age de vingt ans, il est entré, lui aussi, dans le
bataillon des Derviches. Après être resté quelques années a Ioannina, il
est allé à Vrahori d’ Aitolia, habitant au Mouselim Serai.
Soudain, il commença
à vivre en Chrétien, jeta ses vêtements de Derviche portant des vêtements
de chrétiens . Ensuite, il alla à Ithaque, où il reçut le Saint Baptême,
prenant le nom Ioannis. A son retour à Aitolia, il se maria dans le
village Mahalas ou il travaillait comme garde champêtre. Son père envoya
des délégués pour le dissuader, mais Ioannis les renvoya. Alors il fut
arrêté par le Mouselim de l’ arrondissement, devant lequel il confessa avec
courage son nom chrétien et son amour pour le Christ. Il a été soumis à des
tortures inexorables. Finalement, on le décapita et sa relique sainte fut
enterrée dans une ferme à Vrahori.
Notre Eglise célèbre
sa mémoire le 23 Septembre.
Saint Jean l’
Albanais
Le néomartyr Jean était d’ origine albanaise ; il participa à titre de soldat, avec d’ autres Turcs, à l’ étouffement d’ une des révolutions Crétoises. Par la suite, il retourna en Crète, et repenti, il fut baptisé Chrétien Orthodoxe au village St Jean de Faistos ou on lui a attribué le travail du garde–champêtre. Les Turcs fanatiques façonnèrent une calomnie contre lui, en disant qu’ il était responsable de l’ assassinat de quelques Turcs-Egyptiens, de sorte a l’ efforcer a changer de foi. Il fut emprisonné à Iraklion ou il a subi des tortures terribles enfin décéda. I fut enterré à l’ emplacement Spitalia. Sa relique sainte, pendant son exhumation a été retrouvée sanctifiée et le Consulat Russe l’ envoya à Kiev, pour la protéger d’ un sacrilège possible.
Le témoignage du Néomartyr Jean, a été trouve, par Providence Divine, par l’
archimandrite père Chrysostome Papadakis, pendant sa recherche dans la
librairie du Monastère Stavronikita de la Sainte-Montagne Athos. Il
s’entendit avec l’ Association Culturelle de Saint Jean de Faistos, un
village de Messara en Crète où Saint Jean avait passé sa vie et où il
travailla, il écrit le livre et se soucia pour qu’ un office soit composé à
l’ intention du Saint. L’office fut approuvé par la Synode de l’ Eglise
Crétoise :
On a établi le 19 mai, jour de la redecouverte de l’ histoire de sa vie,
comme date de sa sainte mémoire. Après l’ écriture du livre, l’ auteur
-tout à fait par hasard - trouva que Saint Jean a subi le martyre en 1845,
au debut du mois de mai et que pour cette raison les Chrétiens d’ Iraklion
se soulevèrent cinq fois.
Saint Grand Martyr Constantin l’ ex-musulman
L’épouvantable histoire de ce grand héros se trouve en détail dans le
Nouveau Recueil des Saints Martyrs, ecrit par St Nicodime de la Sainte
Montagne Athos.
Le saint était Turc
et vivait dans le village Psilometopo a Mytilini. C’ était un garçon mature
et prudent. A l’ age de 15 ans, il a perdu sa vue à cause de la variole et
il est resté aveugle pendant trois ans : Il a été guéri seulement quand une
amie chrétienne lui a lavé les yeux avec de l’ eau bénite.
Plus tard, puisque
son beau-pere était excessivement brutal, sa mère prit ses enfants et ils
déménagèrent à Izmir : là, son frère aîné commença à travailler comme
marchand de légumes et le Saint se plaça auprès de lui : A cause de son
travail il se mit en contact avec les chrétiens, parmi lesquels il y avait
aussi des prêtres, et l’ enseignement chrétien a radouci son cœur . Peu à
peu, en lisant aussi des livres chrétiens, une passion s’ alluma dans son
cœur : celle d’ être baptisé. Il agréa aussi avec deux de ses amis et ils
apportèrent trois cierges pour ne pas tomber malade de la peste qui avait
déjà attaqué la ville.
Un peu plus tard il
s’en alla en secret au Mont Athos (Sainte Montagne) et il dévoila son
intention a quelques moines. Les moines ne l’ont pas incité à se
précipiter, ni l’ont facilité dans son but. Il erra beaucoup sur Athos,
mais tous l’attardaient concernant le Bapteme, les uns par timidité, les
autres par prudence. Tout cela pourtant lui donna l’occasion de méditer
intensément, afin de prendre une décision mature. Finalement, il s’en alla
et se présenta au Patriarche lui-même. Lui, pour le tenter, lui dit : « Qu’
est-ce que tu veux auprès de nous, jeune homme, nous qui sommes la nation la
plus humiliée du monde ? (à cause de l’ Occupation Turque).
A ce moment-là, le
Saint a fondu en pleurs et dans ses larmes il insistait à son intention de
devenir un membre de l’ Eglise du Christ. Le Patriarche, ébahi, l’aida et
le saint a été baptisé en prenant le nom de Constantin.
Il a vécu une période
de temps comme un chrétien pieux. Il est allé au Monastère d’ Iviron de la
Sainte Montagne Athos, pour se prosterner devant l’ Icône miraculeuse de la
Vierge Portaitissa, il s’est trouve et s’est prosterné devant les Saintes
Reliques de quelques Néomartyrs. C’ était a ce moment-là qu’ il a ressenti
le désir de donner sa vie pour le Christ. Mais le prêtre expert auquel il
s’est confessé, lui a proposé de jeûner pour quarante jours et de prier afin
de s’assurer en lui si son intention était pure et correcte. Au cours de
cette tentation, il a vu en vision le Christ avec tous les saints autour de
Lui, et c’ était Lui qui lui confirma que ce n’ était pas encore le temps de
donner sa vie pour sa foi.
Ensuite, il s’en alla
avec l’ intention de rentrer à Magnisia (où vivait sa famille) et d’ aider
sa sœur a se convertir au Christianisme. Mais a Kydonies (Aivali) il a été
reconnu par un musulman, a été arrêté et renvoyé comme transfuge. Il a été
soumis a des tortures indescriptibles : il a été fouetté, on lui a mis un
casque incandescent sur la tête, on lui a resserre les tempes jusqu’ à la
douleur absolue, on lui a tendu le corps avec un mécanisme spécial, on le
laissait pendant le jour étendu et pendant la nuit on le suspendait par les
mains…
Dans la prison, le
saint a été torturé par une série de visions démoniaques, pendant lesquelles
c’ était Jean, un chrétien qui etait entré dans la prison à cause d’ une
infraction commise intentionnellement, afin de se trouver aupres de lui pour
le réconforter. D’ autres chrétiens se sont aussi rendus dans la prison
pour le voir et le saint demandait leurs prières .
Dans les églises de
la ville, les Chrétiens veillaient en priant pour lui ; Soudain, quelques
chrétiens dont l’ âme était pure, ont vu une lumière paradoxe se propager
autour de l’ église du Néomartyr Saint Georges et puis penetrer dans la
prison ou Constantin était detenu. Là, un peu avant la fin, le saint reçut
la visite de la Vierge.
Après être envoyé à
Istambul et torturé à nouveau pendant trois jours, il a finalement été
pendu. Les tortures du Saint ont duré du 23 avril au 2 juin 1819.
Sa mémoire est célébrée le jour de sa mort.
Le Staretz Nicolas d’
Optina
Son nom était Yousouf Abdoul Ongli, il était Turc Musulman provenant de Bitlis, près d’ Erzeroum. Il est né en 1820. Une série de miracles et de rêves, déjà dès son enfance, l’ ont poussé à s’ intéresser au Christianisme, qu’ il a initialement connu à sa version Arménienne, a cause de son amitié avec des voisins Arméniens.
A Ikonion , où il
servait comme commandant de l’ armée turque, il a fait des efforts pour
acquérir des expériences métaphysiques, comme c’ était l’ habitude dans la
tradition derviche. Tous ses efforts, cependant, restèrent infructueux,
laissant un vide spirituel dans son âme.
Pendant la guerre
entre Russie et Turquie (1853-1856) il fut capturé et amené en Russie. Cela
lui donna l’ opportunité de connaître l’ Orthodoxie de près et meme de
discuter avec des prêtres et plus précisément avec Saint Philarete, un fou
pour le Christ (un saint qui cache sa sainteté en jouant le fou) qui vivait
à Toula. Il a aussi acquis quelques livres et quelques icônes. Quand il a
été libéré, il retourna à Erzeroum, à son épouse et à son enfant, mais
maintenant il se sentait chrétien et non plus comme musulman. Il priait en
lisant les Salutations envers le Christ et la Vierge, devant leurs icônes et
devant l’ icône de Saint Nicolas, qu’ il vénérait particulièrement. Il
rencontrait aussi d’ autres chrétiens avec lesquels il discutait de la foi
chrétienne.
Cependant, son
beau-père, qui était un moufti, fut informé de son intérêt au christianisme
et des livres qu’ il lisait et l’ a dénoncé à l’ Administration. Il fut
arrêté et destitué de ses fonctions d’ officier, puis condamné à subir deux
cents fustigations! A deux pas de la mort, il est resté six mois dans l’
hôpital, tandis que les cicatrices des fustigations n’ont jamais disparu de
son corps (à leur vue, les moines d’ Optina ont été bouleversés, quand,
après sa dormition en 1893, ils l’ ont déshabillé pour le préparer a
l’ensevelissement). Il fut emprisonné sous des conditions inhumaines,
empirées par le comportement de ses co-prisonniers. Ensuite, après beaucoup
de déplacements et de mésaventures, en allant vers l’endroit de son exil,
quelques chrétiens Arméniens soudoyèrent le soldat qui l’ accompagnait et
réussirent sa délivrance.
Il eut de nouvelles
péripéties, des voyages, des viatiques mais aussi des persécutions … Il
voyagea a la Terre Sainte pour le pèlerinage et il se réfugia encore une
fois en Russie, où finalement, il accomplit son désir intime se baptisant
chrétien. En entrant dans l’ église de saint Nicolas Karantin ou allait
avoir lieu son baptême, il reconnût l’ église qu’ il avait rêvée il y avait
quelques décennies et sur l’ icône de Saint Nicolas, il reconnût le prêtre
qui lui avait donné la Sainte Communion dans son rêve.
Pendant quelques
années, il voyagea à l’ intérieur de la Russie comme pèlerin, et passa par
l’ important Monastère d’ Optina (ce germoir de Saints). Là, il discuta
avec le grand maître spirituel, Saint Ambroise, qui lui proposa de rester là
comme moine. Il fut intégré dans la confraternité du couvent, sous la
direction des deux autres grands saints, du père Anatole et du père
Varsanoufios. Père Anatole l’ encouragea a décrire toute sa vie au Père
Varsanoufios, qui, comme il était évident, l’ a enregistré au manuscrit qui
fût sauvé jusqu’ a nos jours.
Comme moine, il lutta
fortement dans la science de la prière noétique, il fit face aux attaques
démoniaques cruelles et devint digne des visions divines, qu’ il dévoila à
son père spirituel, saint Varsanoufios (le père spirituel est le guide
personnel d’ un chrétien au sujet de la foi, et le plus souvent il s’ agit
aussi de son confesseur).
Son voyage terrestre
prit fin le 18 août 1893 et les Pères Anatole et Varsanoufios reconnurent
qu’ il s’agissait d’ un saint. Plus tard, l’ important auteur spirituel
Russe, Serge Nilos (1862-1929), se rapporta à lui dans son livre « Voies
célestes », en 1905.
La biographie
bouleversante du saint moine Nicolas le Turc fut publiée en russe et
traduite en grec.
***
Δεν υπάρχουν σχόλια:
Δημοσίευση σχολίου